C'était il y a deux jours, un vendredi de novembre. Il faisait froid dehors, un temps gris; c'était un jour d'hiver comme un autre, nuageux, neigeux, fade. J'ai passé la journée à travailler à l'intérieur, sous les néons, aussi vite que j'ai pu pour ne pas penser au temps qui passe. Au temps qui passe.
À ma pause, une tasse de café en main, je me suis détendu et j'ai souri en lisant les messages-textes que j'avais reçus et en prenant les quelques appels des êtres chers qui soulignaient le temps qui passe. Le temps qui passe.
Le soir, après quelques courses en famille et un souper léger, j'ai retrouvé une dizaine d'amis pour une soirée de bowling. Nous avons mangé, bu et ri et nous avons célébré cette journée de novembre. À notre façon, tous ensemble, nous soulignions le temps qui passe. Le temps qui passe.
C'était il y a deux jours, un jour comme un autre. J'entamais un nouveau chapitre du roman-feuilleton de ma vie, une ode nouvelle à la vie, à l'amitié, à l'amour, une ode nouvelle au temps qui passe...
2 commentaires:
Un jour comme un autre? Pas vraiment!!! C'etait une belle belle jour!
Oui en effet, c'était une belle journée, Jen. Mais un peu morose quand-même non?
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