Tell Me A Story est le titre du billet d'Andrea Dyck, conservatrice des cultures modernes et de l'immigration au Musée du Manitoba. Andrea est responsable de la recherches, des collections et des expositions qui ont trait aux nouveaux arrivants au Manitoba depuis la deuxième guerre mondiale.
Andrea est en charge de mettre à jour la collection des histoires d'immigrants recueillie du début du 20ème siècle aux années 70. Elle va parler à des groupes d'immigrants philippins, éthiopiens, mais aussi allemands et mexicains. Ces communautés sont arrivées à différentes périodes et il serait très intéressant d'entendre les histoires que leurs membres ont à raconter.
Déporté
Un cas de déportation attire l'attention dans les nouvelles cette semaine, celui de Beyan Dunoh Clarke reconnu coupable pour le meurtre d'un enfant de deux ans. Six ans après le triste évènement, la Cour a jugé Clarke comme étant dangereux pour le public canadien et ainsi ouvert la porte à la règle de la Convention de Genève pour les réfugiés qui permet sa déportation vers le Liberia dont il s'est enfuit en 1999.
Le cas est présenté dans les nouvelles, entre autres ici.
Le cas est présenté dans les nouvelles, entre autres ici.
Togo-Bénin-Canada: histoire d'un réfugié
Dans sa série sur les nouveaux arrivants, l'émission de Radio-Canada "Ici l'été" présente Akakpo Kpalete, 64 ans, un canadien d'origine togolaise qui s'est réfugié au Bénin pendant 15 ans avec sa famille, à cause des remous politiques dans son pays natal.
Parti en mars 1993, il franchit d'abord une distance de 50 kilomètres à pieds jusqu'à Aneho, une ville voisine où il transite pendant deux ans. Puis, au Bénin, il se réfugie dans une mission catholique qui prend également en charge ses enfants. De 1995 à 2010, Caritas, la Croix-Rouge et le Haut Commissariat pour les Réfugiés vont jouer un rôle important dans sa vie.
Arrivé au Canada le 16 juin 2010, il est agréablement surpris par l'accueil qui lui est réservé. Très vite sa famille s'installe et s'adapte. Aujourd'hui, malgré la noyade d'un de ses fils l'an dernier, M. Kpalete qui s'est installé à Gatineau, entrevoit un avenir radieux au Canada.
Parti en mars 1993, il franchit d'abord une distance de 50 kilomètres à pieds jusqu'à Aneho, une ville voisine où il transite pendant deux ans. Puis, au Bénin, il se réfugie dans une mission catholique qui prend également en charge ses enfants. De 1995 à 2010, Caritas, la Croix-Rouge et le Haut Commissariat pour les Réfugiés vont jouer un rôle important dans sa vie.
Arrivé au Canada le 16 juin 2010, il est agréablement surpris par l'accueil qui lui est réservé. Très vite sa famille s'installe et s'adapte. Aujourd'hui, malgré la noyade d'un de ses fils l'an dernier, M. Kpalete qui s'est installé à Gatineau, entrevoit un avenir radieux au Canada.
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